Publié le 29 Septembre 2019

Plus de communication avec le Souvenir Français.

Vous l’avez peut-être noté : les journaux parlent de plus en plus du Souvenir Français. Ces derniers mois, Le Parisien a publié plusieurs articles concernant notre association.

Nous allons plus loin maintenant ! Comme l’a indiqué notre Délégué général pour les Hauts-de-Seine, Claude Guy, un jeune adhérent, Adrien Ramassamy, a mis en place différents vecteurs de communication.

Ces vecteurs sont maintenant accessibles depuis ce site :

 

Vous les trouverez tout en bas de cette page, à gauche de l’écran, dans la catégorie « Liens ». Vous trouverez également les liens vers nos sites :

 

  • Site national.
  • Site du Comité d’Asnières-Clichy.
  • Site du Comité d’Issy-Vanves.
  • Site du Comité de Rueil-Malmaison.

 

Bon surf !

 

F. RIGNAULT

Délégué général adjoint.

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Publié le 28 Septembre 2019

A Sèvres, le Souvenir Française rend hommage aux soldats Morts pour la France pendant la « Drôle de Guerre ».

« A nous le souvenir, à vous l'immortalité » énonce solennellement Claude Guy, délégué général du Souvenir français du département. Dans les allées ensoleillées du cimetière de Sèvres, une vingtaine de personnes assistent ce mardi matin à une cérémonie en hommage à Michel Poutou.

Son nom n'est pas entré dans l'Histoire. Et pour cause, ce soldat sévrien est mort lors de ce que l'on a appelé la « drôle de guerre », touché par un éclat d'obus à Saint-Louis-lès-Bitche, en Moselle, le 29 septembre 1939.

« Il y a cette fausse guerre, qui restera sous le nom de « drôle de guerre », au sens de curieuse, mais il ne faut se tromper sur cette période. Près de 3 000 soldats français meurent dans des combats entre le 3 septembre 1939, date de la déclaration de guerre, et le 10 mai 1940, date de l'offensive allemande » explique Claude Guy.

Michel Poutou avait 19 ans. Il est mort moins d'un mois après le début de la guerre. Fils d'un mécanicien, Michel Poutou grandit chemin des Lacets. Il fait partie du 23e régiment d'infanterie coloniale. Soldat de la première compagnie, il est « plein d'entrain », décrit son commandement. Le Sévrien a été décoré à titre posthume de la croix de guerre, et fait titulaire de la médaille militaire.

 

« On aurait pu se croiser »

Renée, 90 ans, s'approche de la tombe où elle a déposé une fleur quelques minutes avant. « On aurait pu se croiser, son nom me dit quelque chose, dit-elle. Il était né à Sèvres en 1920, moi je suis de 1928. »

Renée est venue assister à la cérémonie accompagnée de sa fille. « C'est important de se déplacer tant que l'on peut et de continuer à rendre hommage à ces soldats », glisse-t-elle. Aucun des combattants ayant pris part à la drôle de guerre n'est encore en vie aujourd'hui.

Comme Michel Poutou, cent soldats morts pour la France lors de cette période seront mis en avant par le Souvenir français cette année. « Contrairement à 14-18, il y a très peu de documents sur la drôle de guerre. Il s'agit vraiment de réhabiliter cette période ».

L'an dernier, le Souvenir français avait choisi de rendre hommage aux soldats oubliés de la Grande guerre. Deux avaient été honorés dans le département : Auguste Thin à Asnières et Gustave Durassié à Montrouge.

 

Les tombes de victimes de guerre à l’abandon seront restaurées.

Plusieurs tombes du cimetière de Sèvres, laissées à l'abandon, seront restaurées d'ici deux ans. Il s'agit des tombes de 19 personnes, dont des familles, qui ont péri lors des bombardements de la ville en mars 1942. Ainsi que les tombes de deux soldats de la guerre d'Indochine, d'un soldat de la guerre d'Algérie, et d'un soldat de la Seconde Guerre mondiale.

« Cela fait partie des missions du Souvenir français de veiller à l'entretien de ses tombes lorsqu'il n'y a plus de famille pour le faire, confie Olivier Maurion, président du comité du Souvenir français de Sèvres. Il s'agit d'un budget d'environ 15 000 €. Nous avons déjà eu l'accord de la mairie qui financera une partie des restaurations. Et pour le reste, j'envisage une souscription publique ou une cagnotte en ligne ».

 

Sources :

 

  • Journal Le Parisien – 3 septembre 2019
  • Texte et crédits photographiques d’Estelle Dautry.
Claude Guy, délégué général du Souvenir français lors de la cérémonie en hommage à Michel Poutou. Derrière lui se tient Renée, Sévrienne de 90 ans.

Claude Guy, délégué général du Souvenir français lors de la cérémonie en hommage à Michel Poutou. Derrière lui se tient Renée, Sévrienne de 90 ans.

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Publié le 25 Septembre 2019

Les Compagnons de la Libération des Hauts-de-Seine : Jacques Piette d'Issy-les-Moulineaux.

Biographie.

 

Alias : "Personne"

 

Fils d'ouvrier tourneur, Jacques Piette nait le 13 mai 1916 à Issy-les-Moulineaux dans les Hauts-de Seine.

 

Diplômé de droit public et d'économie politique, élève de l'Ecole des hautes études sociales, il est membre du comité directeur de la SFIO à partir de 1938.

 

Il accomplit son service militaire comme élève officier de réserve à Saint-Cyr en 1939 (promotion "Amitié franco-britannique") et, nommé sous-lieutenant en mai 1940, il est affecté au 24e Régiment d'infanterie. Après l'armistice, en septembre 1940, il rentre en rapport avec le commandant Daum de la base de Pau. Il appartient dès lors à un réseau de renseignements s'occupant aussi de faire passer la ligne de démarcation ou de transporter des armes.

 

En 1942 le réseau de Jacques Piette disparaît à la suite de la saisie par la Gestapo d'importants stocks d'armes cachés en Vendée. En juillet 1942 il établit une liaison avec le groupe d'Uriage et entre en relation, en septembre 1942, avec le réseau "Centurie" dont la direction de la section économique lui est confiée dès le mois de décembre.

 

Entré à l'Organisation civile et militaire (OCM), il participe alors à l'élaboration des Cahiers de l'OCM et favorise, en mars 1943, l'entrée des groupes d'Uriage dans la Résistance. Il établit la liaison entre Dunoyer de Segonzac et Brossolette et assure les contacts entre le Comité général des experts de l'OCM et le Bureau des opérations aériennes (BOA).

 

En septembre 1943 Jacques Piette devient membre du comité directeur de l'OCM sous le nom de "Personne" et, en octobre, est nommé chef de la Région militaire pour le Nord, le Pas-de-Calais, et la Somme (Région A). En décembre 1943 son commandement s'étend à l'Aisne et à la Seine-inférieure.

 

Le 21 février 1944, il est nommé inspecteur régional des FFI pour la Région A et réalise la fusion militaire des mouvements, répartissant les armes et mettant en place les plans (Vert, Violet, Tortue). Il crée les maquis de l'Aisne et de Seine-inférieure, fixe les plans d'opérations et rend compte, en avril 1944, du succès de plus de 200 opérations de sabotage (écluses, voies ferrées, embuscades, etc.).

 

Le 8 mars 1944, il échappe à la Gestapo et prend la succession du colonel Touny, arrêté peu de temps auparavant. Il devient ainsi le chef militaire national de l'OCM et assure la direction du réseau "Centurie" en liaison avec le réseau de la "Confrérie Notre-Dame" reconstitué. C'est grâce au plan de défense côtière de la Manche envoyé à Londres par le réseau de Jacques Piette que les Alliés ont choisi le point de débarquement du 6 juin 1944. Plus tard, le général Omar Bradley dira à Jacques Piette :"les renseignements qui figuraient sur ce plan étaient d'une telle valeur que nous avons pu réussir l'opération avec un minimum de pertes en hommes et en matériel".

 

Le 10 juin 1944 il est nommé colonel puis membre du comité parisien de libération. Il prend part à la libération de Paris les armes à la main et s'établit à l'Hôtel de Ville le 20 août au matin. Nommé commissaire de la République à Lille par le général de Gaulle, il est fait Compagnon de la Libération par ce dernier le 17 novembre 1945.

 

La paix revenue, il redevient membre du comité directeur de la SFIO (1946-1951 puis de nouveau à partir de 1961) et est secrétaire général au Commerce et à l'organisation économique au Ministère de la Production industrielle. Plus tard il est inspecteur général de l'Economie nationale au Ministère des Finances.

 

Proche de Guy Mollet, il est également député de l'Yonne de 1956 à 1958 et conseiller général et régional du Pas-de-Calais. Président du comité directeur du Fonds de Développement social (CEF), il est, par ailleurs, Maire d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) de 1969 à 1989. Membre du comité directeur du Parti socialiste, il est conseiller d'état à partir de 1981 et président de la Caisse nationale de l'industrie (1982-1986).

 

Jacques Piette est décédé le 2 avril 1990 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il a été incinéré au cimetière du Père Lachaise à Paris.

 

Décorations

 

  • Grand Officier de la Légion d'Honneur.
  • Compagnon de la Libération - décret du 17 novembre 1945.
  • Croix de Guerre 39/45.
  • King's Medal for Courage in the Cause of Freedom (GB).
  • Polonia Restituta (Pologne)

 

 

 

Source :

 

Musée de l’Ordre de la Libération et site : www.ordredelaliberation.fr

 

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Publié le 14 Septembre 2019

Cette peinture à l’huile, conservée au Musée Carnavalet de Paris, est l’œuvre des peintres Jules Didier et Jacques Guiaud.

Cette peinture à l’huile, conservée au Musée Carnavalet de Paris, est l’œuvre des peintres Jules Didier et Jacques Guiaud.

Le siège de Paris.

Né de la chute du Second empire et de la défaite de Sedan, le Gouvernement de la Défense nationale charge le ministre de l'Intérieur, Léon Gambetta, de quitter Paris, assiégée par les Prussiens, et d’organiser en province la reprise des combats.

 

Pour franchir les lignes prussiennes, le fougueux ministre, alors âgé de 32 ans, à l’idée d’emprunter une montgolfière et prend conseil auprès du photographe et aérostier Nadar.

 

Gonflé au gaz d’éclairage, le ballon de 16 mètres de diamètres s’élève au matin du 7 octobre 1870, de la butte Montmartre avec à son bord l’impétueux ministre et un assistant. Mais le vent pousse vers le nord et les lignes prussiennes… Les deux voyageurs lâchent du lest pour s’élever et échapper aux tirs ennemis. Le ballon s’écrase en milieu d’après-midi près de Beauvais, où ils sont recueillis par des paysans. Après trois jours de voyage épique en voiture à cheval et en train, Gambetta arrive enfin à Tours où il rejoint une délégation gouvernementale dirigée par Adolphe Crémieux mais l’approche de l’ennemi les oblige à se replier vers Bordeaux.

 

« Choses vues ».

 

Durant toute son existence, Victor Hugo a pris des notes d'observation sur la vie publique, politique et littéraire, et des notes confidentielles sur sa vie privée. A sa mort, ces notes étaient laissées éparses, distribuées en plusieurs dossiers et carnets : des livres de comptes, sur les gains et débours de l'écrivain ; des ébauches de textes de toute sorte ; des cahiers d'esquisses ; enfin, une série de feuillets constituant un journal de bord. Une sélection de ces écrits a donné lieu à une édition en 1887, intitulée Choses vues. Une deuxième édition suivit en 1900, et une édition plus complète en 1913. A cette version ont été ajoutés de nouveaux fragments, dus surtout à Henri Guillemin, pour donner l'édition en poche chez Gallimard en 1972, sous la direction d'Hubert Juin. Près de 2 000 pages distribuées en deux volumes.

 

Voilà ce qui est noté à la date du 7 octobre 1870…

 

7 octobre 1870.

 

Ce matin, en errant sur le boulevard de Clichy, j’ai aperçu au bout d’une rue entrant à Montmartre un ballon. J’y suis allé. Une certaine foule entourait un grand espace carré, muré par les falaises à pic de Montmartre. Dans cet espace se gonflaient trois ballons, un grand, un moyen et un petit. Le grand, jaune, le moyen, blanc, le petit, à côtes, jaune et rouge.

On chuchotait dans la foule : Gambetta va partir. J’ai aperçu, en effet, dans un gros paletot, sous une casquette de loutre, près du ballon jaune, dans un groupe, Gambetta. Il s’est assis sur un pavé et a mis des bottes fourrées. Il avait un sac de cuir en bandoulière. Il l’a ôté, est entré dans le ballon, et un jeune homme, l’aéronaute, a attaché le sac aux cordages, au-dessus de la tête de Gambetta.

Il était dix heures et demie. Il faisait beau. Un vent du sud faible. Un doux soleil d’automne. Tout à coup le ballon jaune s’est enlevé avec trois hommes dont Gambetta. Puis le ballon blanc, avec trois hommes aussi, dont un agitait un drapeau tricolore. Au-dessous du ballon de Gambetta pendait une flamme tricolore. On a crié : Vive la République !

Les deux ballons ont monté, le blanc plus haut que le jaune, puis on les a vus baisser. Ils ont jeté du lest, mais ils ont continué de baisser. Ils ont disparu derrière la butte Montmartre. Ils ont dû descendre plaine Saint-Denis. Ils étaient trop chargés, ou le vent manquait.

 

Le départ a eu lieu, les ballons sont remontés.

 

Nous sommes allés visiter Notre-Dame, qui est supérieurement restaurée. On entre dans le chœur en donnant 50 centimes par personne pour les blessés.

Nous avons été voir la tour Saint-Jacques. Comme notre calèche y était arrêtée, un des délégués de l’autre jour (XI arrondissement) a accosté la voiture et m’a dit que le XI arrondissement se rendait à mon avis, trouvait que j’avais raison de vouloir le scrutin de liste, me priait d’accepter la candidature dans les conditions posées par moi, et me demandait ce qu’il fallait faire si le gouvernement se refusait aux élections. Fallait-il l’attaquer de vive force ? On suivrait mes conseils. J’ai répondu que la guerre civile ferait les affaires de la guerre étrangère, et livrerait Paris aux prussiens.

En rentrant, j’ai acheté des joujoux pour mes petits. À Georges un zouave dans sa guérite, à Jeanne une poupée qui ouvre et ferme les yeux.

 

 

Sources :

 

 

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Publié le 5 Septembre 2019

Une délégation à la tâche, même en été !

Durant l’été, votre délégation a continué de travailler pour notre reconnaissance.

C’est ainsi, entre autres, que le 2 juillet le Délégué général participait à la clôture du Rallye citoyen des Hauts de Seine, que le 12 juillet il était à Matignon à l’invitation du Premier ministre, que le 4 août il ravivait la Flamme sacrée avec la British Legion, que le 18 août il participait à la commémoration du 75ème anniversaire de la mort des résistants fusillés à la cascade du bois de Boulogne, en présence de la Maire de Paris, quelques jours avant celle de la Libération.

Chaque fois ce fut l’occasion de faire reconnaître le Souvenir Français comme la grande association mémorielle dont le pays a besoin.

Mais l’été fut aussi l’occasion grâce à la volonté d’un jeune étudiant d’Issy-les-Moulineaux de progresser sur la voie de la modernisation, de la possible ouverture aux jeunes en créant une page sur Facebook: facebook.com/SouvenirFrançais9 puis une chaîne You Tube : "Souvenir Français des Hauts-de-Seine" sachant que la jeunesse d’aujourd’hui passe environ deux heures par jour sur ce canal. Son action se poursuivra en fonction de son emploi du temps et de nos succès.

Enfin, différents travaux sur les statuts, le règlement intérieur, le livret des responsables, la préparation de nouveaux rendez-vous (hommage à des Morts pour la France durant la « Drôle de guerre », commémoration du centenaire de la mort de notre fondateur, recensement des sites, monuments, stèles, rues dédiés à la guerre de 1870-1871) nous ont occupés. 

 

Claude Guy

Délégué général dans les Hauts de Seine

Une délégation à la tâche, même en été !
Une délégation à la tâche, même en été !

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Publié le 1 Septembre 2019

Au MDL Clérembault de Sèvres.

Au 6e hussards.

 

Le 6e RH se réclame de la filiation historique des régiments qui ont porté le numéro 6 dans l’arme des hussards, c’est-à-dire du régiment des hussards de Lauzun, devenu 5e régiment de hussards par la suite. Le régiment des hussards de Lauzun est officiellement créé le 14 septembre 1783 à Hennebont dans le département du Morbihan, au retour de la Légion de Lauzun des Etats-Unis.

 

Sous la Révolution, puis l’Empire, l’unité va participer à de nombreuses batailles dont Jemmapes (1792), la funeste campagne de Russie, avec la bataille de la Moskova, puis celle d’Allemagne avec la boucherie de Dresde.

 

Un siècle plus tard, alors que le régiment a connu des chefs de corps qui feront carrière par la suite dans les plus hautes sphères militaires comme le marquis Louis-Antonin Viel de Lunas d’Espeuilles, il participe aux batailles de Sarrebourg puis de l’Yser.

 

Le régiment est dissous en 1926, puis récréé en 1957 pendant la guerre d’Algérie. Pas pour très longtemps, car il est de nouveau dissous en 1962.

 

Gilbert Clérembault.

 

Gilbert Clérembault nait le 8 février 1935 à Putanges dans le département de l’Orne.

 

Engagé au sein du 6e régiment de hussards, il est élevé au grade de maréchal des logis. Il est blessé le 31 juillet 1959 au cours d’une opération à Bou Mansour, en Grande Kabylie, lors d’une opération. Il meurt des suites de ses blessures à l’hôpital Maillot. Il avait 24 ans et était célibataire. Décoré de la Médaille militaire et de la Croix de la valeur militaire. Son nom est inscrit sur le monument aux Morts de la ville de Sèvres.

 

L’hôpital Maillot était également connu sous le nom de « l’hôpital du Dey » qui avait été ainsi appelé jusqu’au moment de la colonisation et de l’exercice en ces lieux du médecin François Maillot (1804-1894).

 

Médecin-colonel Sieur : « L’hôpital Maillot, resté pour les vieux Algérois, l’Hôpital du Dey, est triplement respectable. Il est en effet un des vestiges des propriétés deylicales. Il est le doyen des établissements hospitaliers de l’Afrique Française du Nord. Il porte le nom d’un grand honnête homme et médecin militaire, dont la carrière connut ses plus belles pages à Alger puis à Bône, avant de recevoir le couronnement d’une récompense nationale ».

 

 

 

 

 

Sources :

 

  • Ville de Sèvres : www.sèvres.fr
  • Encyclopédie Wikipédia.
  • Site Internet Memorial GenWeb – Fiche individuelle de Gilbert Clérembault.
  • Article du Médecin-colonel Sieur.
Au MDL Clérembault de Sèvres.

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