Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.

Publié le 22 Novembre 2018

Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.

En ce début de mois de commémoration de la fin de la Première Guerre mondiale, notre délégation du Souvenir Français des Hauts-de-Seine et la grande majorité de ses comités ont honoré comme il convenait les soldats de ce terrible conflit et salué la victoire acquise après tant et tant de souffrances. Mais ils ont su également saisir l’occasion de faire connaître mieux encore notre grande association mémorielle, son passé, son présent et ses initiatives d’avenir.

 

Des rencontres que j’ai pu avoir au cours de ces dernières semaines, certaines furent suivies d’actions immédiates notamment à travers de nombreux articles de presse sans équivalent dans le passé.

 

D’autres conduisirent à des échanges prometteurs avec des professeurs et des élèves ou des responsables départementaux (chef de corps des sapeurs pompiers, auditoire d’une table ronde consacrée aux batailles inscrites sur le drapeau de la gendarmerie, directrice d’une médiathèque etc...).

 

Ce qui prouve que le Souvenir Français peut avoir une audience auprès de nouveaux acteurs et sensibiliser au-delà de son cercle habituel.

 

Au total, sans ignorer d’autres initiatives toutes riches en émotions et en symboles, on peut retenir l’hommage rendu à Auguste Thin au cimetière d’Asnières, l’exposition « la guerre est finie » à Châtillon avec notamment les lettres de jeunes écoliers à leurs anciens de 14/18, la remise d’un drapeau de Rhin et Danube au collège Yves du Manoir, à Vaucresson, marqué par une collaboration de 3 comités et la présence de militaires de la BSPP.

 

Mais c’était sans compter sur l’exceptionnelle rencontre des enfants des Poilus de la Grande Guerre, nés en 1919, 1920 et 1921, aujourd’hui en maison de retraite, avec les enfants des classes de Boulogne-Billancourt pour élaborer et présenter une pièce de théâtre.

 

Enfin, après l’inauguration de la tombe de regroupement à Clamart, résultat de 3 ans de travail acharné, la première géolocalisation des tombes dans le département a eu lieu à Levallois-Perret.

 

Sans nul doute, ces exemples résument le Souvenir Français dans sa profondeur : la tombe, la mémoire, la transmission, l’initiative d’avenir.

 

Les photographies ci-dessous représentent :

 

  • Claude Guy à Asnières auprès de la sépulture d’Auguste Thin.
  • Les lettres des jeunes enfants de Chatillon à leurs anciens de 14-18.
  • La remise du drapeau Rhin et Danube à trois collégiens de l’établissement Yves du Manoir de Vaucresson, avec la participation d’Alain Goussard, président du Comité.
  • Théâtre dans une maison de retraite de Boulogne.
  • La tombe de regroupement de Clamart.
  • La géolocalisation des tombes de Morts pour la France à Levallois-Perret.

 

 

 

Claude Guy

Délégué Général

 

 

Sources :

Les photographies ont été prises par des membres du Souvenir Français.

Celles pour Clamart, Levallois et une photographie de Vaucresson sont issues du journal Le Parisien, qui a largement fait écho au travail du Souvenir Français pendant ce mois de commémoration.

Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.
Le Souvenir Français des Hauts-de-Seine sur tous les fronts.

Rédigé par Souvenir Français des Hauts-de-Seine

Publié dans #Communication de la Délégation Générale

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